Géorgie

Géorgie

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Décidément, nous ne suivons pas notre itinéraire, pas la peine de répéter tout le monde sait pourquoi.

La Frontière:

  • Arrivés à cette dernière, les passagers des véhicules descendent et passent par voie terrestre. (flute, on l’avait pas anticipé)
  • Nina et moi passons à pied de la même façon qu’un aéroport. Au guichet, on nous demande notre passeport, nos tests et nos vaccinations. Nous tendons nos passeports car nos vaccinations sont faites avec nos numéros de ce dernier et non nos cartes d’identité.
  • Pourquoi, nous n’avons pas de tampon Turc. Aie! ca commence! Nous expliquons, que nous sommes rentrées avec nos CI, et nous tendons nos feuilles volantes qui servent de visa. du coup, elle part avec nos passeports, persuadée qu’ils sont faux.
  • Demande notre mail avec le numéro de rentrée Georgien. Je lui tends mon téléphone, cela me parait plus simple. Voici le lien pour cette aplli.  https://registration.gov.ge/pub/form/7_protocol_for_arrivals_in_georgia/kcjcpx/
  • Nina est moi sommes en Géorgie, nous attendons le passage de Cayon et Seb.
  • 1h plus tard c’est à lui. Au moment de la demande du mail, ca coince. La douanière à semble-t-il effaçait le mail concernant celui de Seb.  Le douanier fait reculer Seb, même pas mettre de côté. Il doit refaire la queue.
  • Voilà, ou est notre manque d’anticipation, j’aurai du faire une photo du mail par sa tablette quand nous nous sommes divisés.
  • Je refais la demande…On attend…Une autre file commence et le gentil douanier mais Seb dans celle-ci. Même problématique de passeport vierge, de visa volant et de vérification du faux document.
  • L’assurance peut se prendre sur internet mais nous faisons partie d’aucune catégorie. Donc le douanier nous désigne cette dernière et nous donne des papiers. A ce jour, aucune assurance française est valable en Géorgie.
  • Il est tard, nous sommes fatigués, il fait chaud. Pas bien compris où se prend l’assurance. On se fait avoir des le passage frontière par les hommes du change. On a bien l’assurance, au bon prix, à la bonne catégorie et avec leur commission évidemment.

Premières rencontres avec des Fams

Nous rejoignons Marie et Marc des mamatoch et leurs amis Sabrina et Lionel dans un eco Kamp en bord de la mère noire. Nous sommes heureux de pouvoir enfin les revoir.  Leurs amis sont très sympas. Nous passerons un bout de soirée ensemble et nous nous séparerons après le déjeuner. J’espérai rester plus longtemps avec eux mais chacun à sa route.

Nina est très contente de revoir Chloé et Tom.  Comme me l’a fait remarquer Marie : pourquoi elle a autant accroché avec ses petits. Je sais pas. Elles les aiment bien, pourtant ils sont plus jeunes qu’elle. ca s’explique pas. Du coup, ils ont passé la matinée à jouer aux Playmobil rejoints par les garçons de leurs amis.

Une rencontre trop brève à notre goût dont je n’ai que cette photo.

La route Georgienne :

A elle seule, elle mérite un paragraphe pourtant nous en sommes qu’à la première semaine.

On commence par la vadrouille animale. Les animaux sont rois. Là ou ces derniers passent, c’est propre, entretenue…

Donc des vaches, des cochons, je n’ai pas réussi à prendre les chevaux…

Puis vous avez la conduite qui est pour le moment la plus dangereuse que nous ayons vu. Nous avons appris par notre permis que quand il y a des travaux et qu’on nous dit stop: on s’arrête.

Je parle pas des innombrables véhicules qui roulent sans pare-chocs ou sans capot.

Les sources chaudes :

Nous avons quitté nos amis pour nous rendre aux sources chaudes, en bord de rivière. Le parking est bondé mais nous arrivons à trouver une place plane. La police passe, nous salue et nous dit que c’est paisible ici. Cette dernière passera toutes les heures.

En préparant notre repas, beaucoup de Georgiens viennent nous dire bonjour et veulent se faire prendre une photo. Rare les personnes qui parlent anglais, l’échange est difficile est convivial. Des jeunes qui finissaient leur soirée bien arrosée nous offriront une énorme pastèque.

Le lendemain, on se lève de bonne heure pour prendre des photos de la source la veille trop de monde. La température est vraiment trés élevée, nous n’arriverons pas à nous mettre sous la cascade.

Des locaux ayant fait des petites piscines sur les bords de rivière,  Nina s’en donne à cœur joie.

La Grotte de Prometheus :

Nous dormons au bord d’une autre rivière.

Nina est en âge, diront nous de contradictions, je veux plus me baigner dans la mer, l’eau de la rivière est froide…Et j’en passe. J’ai peur des bébêtes et de ci et de cela.. Bref, à chaque arrêt y a un truc qui va pas. Elle va devenir pire que moi.

Nous mangerons accompagnés de Jaqueline la vache et de copain cochon. Ce dernier mangera à mes pieds. Ils nous ont suivis depuis notre promenade le long de l’eau. Y a pas de photos et bé on a tout simplement oublié d’en prendre tant le moment était fun.

La grotte est une des plus belle que nous ayons faite. Nous suivons un guide qui parle trés rapidement anglais. On comprend rien mais comme nous avons l’habitude de ces dernières, nous ne sommes pas dans l’inconnu. Nous prenons notre temps en bout de queue.

Nous finirons notre exploration par une remontée en bateau. Là c’était une première.

La réserve  de Sapatlia :

Quand nous arrivons à 10 h, les gardes ouvrent devant nous la réserve. En ce moment la grotte est fermée car ils refont l’électricité. C’est pas grave d’autres choses sont à voir.

Cette fois notre guide prend soin de nous expliquer lentement ce que nous allons voir. Nous sommes accompagnés d’une ribambelle d’enfants en sortie centre aéré et de leurs mamans dont une parle anglais et qui nous aideras à comprendre des dates.

Nous voilà partie il y a quelques millions d’années en arrière sur les pas de dinosaures. cette réserve est connue pour avoir découvert et conservés des pas de ces créatures légendaires.

La réserve est gigantesque mais les visiteurs n’ont le droit qu’à 2 hectares car la forêt est infestée de loups et d’ours.

Je regarde mes amours traversés la passerelles de verre. Moi je reste bien gentiment sur la terre ferme d’où je prends une photo. Ca rend pas trés bien mais la vue est sublime me diront ces derniers.

Les troglodytes d’Uplistsikhé :

Nous nous sommes posés 2 nuits au milieu des champs vers Gori. La chaleur est écrasante et ses conducteurs sont tellement imprudents qu’il nous fallait du repos. La conduite est horrible, sa double à droite, à gauche alors qu’on est à l’arrêt cause travaux. Des travaux il y en a beaucoup et quand la route est finie, elle est uniforme, pourrie. Cécé est concentré, la moindre inattention est se serait l’accident. Moi, je lui suis inutile dans ces cas mes frayeurs routières reviennent aux triples galops. Ca aussi ca l’énerve.

Cette pose tombe bien, le linge sèche en moins d’une heure grâce au vent chaud. On baragouine avec les bergers qui nous saluent toute la journée.

Vient le moment d’aller voir ce site. Cette ville, signifie “la maison du Lord”, qui date de deux mille ans avant JC,  cette cité en a vu des vertes et des pas mûrs: Alexandre Le Grand, Attila.

Elle est composée de ruines Troglodytes, d’une église plus récente, et d’un tunnel qui servait à aller chercher de l’eau et fermer la ville en cas d’attaque. avec un petit musée suffisant à nos yeux.

J’ai été subjuguée par le paysage, une nostalgie d’oasis Marocaine. 

Les photos ne rendent pas la valeur au site.

Nous avons croisé dans le site une centaine de “Geko” qui s’appelle Agame du Caucase ici. Il y en avait partout, ils ne sont pas dangereux mais je ne m’y risquerai pas un doigt.

Nous avions croisé à l’aller un drôle d’animal et nous l’avons croiser au retour.

Tbilissi:

Nous arrivons trad à la capitale, ces chauffards. C’est vraiment fatigant mentalement et physiquement pour conduire dans ce pays. Nous faisons un plein de course à Carrefour. Et oui il existe. Petite joie, au vu des prix. Ils conservent le lait UHT au frais ce qui fait qu’on ne pas faire de stock.

Il y a un lac à quelques kilomètres de la ville. C’est bluffant de voir cet endroit en pleine nature si proche d’une capitale. Beaucoup de monde se baigne, il fait trés chaud 36°. Jusqu’à 1h du matin nous entendrons le bruit de feux d’artifice partout autour du lac et surement sauvage.

Cette ville, ne fais pas partie de nos préférés ou alors il faisait vraiment trop chaud pour l’apprécier. C’est une capitale aux mille et un balcons. certains rénové et d’autres à la limite de tomber pourtant les gens vivent dedans.

Cette agglomération est réputée pour ses bains publics d’eau soufrée qui sont alimentés directement par une rivière et un canyon en plein centre. C’est à voir.

Tbilissi c’est se faire découvrir. Plusieurs moyens à disposition, se perdre dans les ruelles, ce que nous adorons mais pour une fois nous tentons de prendre de la hauteur grâce au téléphérique. Une première pour Nina, une contrainte pour moi.

Une chose que nous ne pouvons pas ignorer c’est la “mère de Géorgie”. Du haut de ses 20 mètres elle surveille son enfant, elle est accueillante mais elle est prête à défendre sa progéniture.

Tbilissi c’est aussi du pop art un peu partout.

Nous finissons notre visite par l’église de la trinité qui surplombe la ville.

En revanche c’est une ville où l’on se gare facilement, à un prix dérisoire et en plein centre.

Mtskheta :

Nous avons repris la route car la capitale est vraiment étouffante, nous voilà avec quelques degrés en moins au bord d’un lac avec une petite brise.

C’est un village fortifié assez touristique mais à taille humaine.

Nous avons eu de la chance d’assister à un mariage et à deux bénédictions d’alliance. Ces dernières nous n’avons pas trés bien compris car les femmes avaient des robes couleurs marron ?! Quand il y a des cérémonies, les portes des églises restent ouvertes aux visiteurs .C’est troublant, on déambule au milieu des invités sans savoir qui est qui.

C’est la journée des surprises, en fin d’après-midi, un taxi nous aborde. Il attend que des tourtereaux finissent leur tour de bateau. Il nous explique certaines routes à prendre et d’autres non…Il nous demande si on veut acheter du vin. Nous lui expliquons que nous ne buvons pas d’alcool. Il rigole et ne trouve pas cela normal alors il nous offre une bouteille. Nous la garderons et l’ouvrirons de bon cœur avec des Fams. Ils ne savent peut-être pas conduire mais les Georgiens sont d’une belle gentillesse.

Monastère David Gareji :

Nous suivons donc les indications du gentil taxi et nous ne suivons pas la route que nous conseille le GPS. Nous avons bien fait car celle-ci  est en réalité pour moitié , une piste vue qu’il a plu cette nuit, nous n’aurions pu passer

Nous trouvons enfin de l’eau, il est trés difficile dans ce pays, les fontaines appartiennent en général aux vendeurs des bords des routes

La route que nous prenons est tout simplement une merveille dans tous les sens: les yeux, la sérénité et elle est neuve.

C’est dommage en temps sec nous aurions pu prendre quelques chemins et s’enfonçait dans ce sublime canyon. Nous avons eu un coup de cœur pour cette route. Elle longe la frontière avec l’Azerbaïdjan, les chevaux et les vaches sont partout en liberté. Faut savoir que dans ce pays pour aller voir quelque chose faut souvent faire l’aller retour mais quand les routes sont comme cà, aucun problème.

Le monastère date du 6°siecle, il a été crée par un des treize pères qui ont évangélisé la Géorgie et fui la Syrie. Donc à la base, ce monastère creusé dans la roche, ainsi formé en plusieurs monastères troglodytes est catholique. Il a servi et sert encore aux moines orthodoxes, il a servi de forteresse militaire, vu qu’il est idéalement placé à la frontière et en plein désert.  Nous n’avons pas eu la force de monter sur la crête qui surplombe les deux pays et une bonne partie de ces lieux sont sur la terre azerbaidjanaise c’est une marche assez rude.

Shghnaghi :

Nous avons repris notre route pour nous arrêter dans un village perché fortifier. Une simple balade un peu dans les hauteurs avec une magnifique vue sur les montagnes du Caucase sud. Malheureusement, il ne fait pas beau les photos ne rendent pas la beauté.

C’est une belle architecture, les routes sont pavées, des balcons partout, des tours et des remparts qui englobent ce petit village.

 Nous y passerons la nuit un peu plus au frai, en étant en plein centre, aucun bruit. Le matin, nous partons au monastère de Bodbe à 4 Km.

Quelle sérénité! C’est la première fois dans ce pays que l’église ou le monastère est ornementé. Nous avions pris l’habitude de la rusticité de ces lieux de culte. J’étais subjuguée par le travail du marbre, entièrement gravé. C’est tellement difficile à travailler. Les colonnes de schistes et de tufs de pierres. La richesse des enluminures. Il est interdit de photographier l’intérieur et de toute façon je n’ai quasiment jamais pris de photos intérieurs édifices religieux, par respect.

Faut savoir qu’en Géorgie il y a un dress-code pour les endroits religieux. Les femmes doivent être couvertes d’un foulard ainsi que les jambes. normalement le short est interdit aux hommes. Mais ils acceptent. Vous aurez des foulards et des jupes pour vous couvrir. Du coup, nous avons avec nous nos bandanas.

C’est le point le plus à l’est que nous ayons atteint, si on lit la carte et qu’on prend comme point de départ Malijai.

La route militaire :

Après un repos de deux jours près d’un lac, pas trés intéressant mais relaxant, donc pas de photos. Nous prenons la route militaire qui relie la Géorgie à la Russie. Mais avant de la rejoindre nous passons par une nationale  dont la rénovation a été oublié. C’est une piste, un peu d’enrobé, une piste, des branches partout. Faut aller doucement et être patient.

Sébastien est tout excité sur la route car nous n’arrêtons pas de croiser des camions Russes les fameux Kamaz.

Les légendes ne sont pas de moi. Je suis incapable de les différencier, ceux-ci n’est qu’un échantillon. On aurait dit un petit garçon dans un trés vieux musée de camions.

Cette route passe par de belles vallées, justement nous rejoignons les Mamatoch et les Truck mush pour passer le weekend ensemble.

Vallée de juda :

Nous arrivons tard mais l’endroit est sublime.

Nina est ravie de retrouver sa petite copine Chloé. nous sommes dans un bel endroit à 2200m d’altitude, un peu de fraicheur, une rivière pour l’eau et les lessives. Le paradis, les enfants jouent, les parents papotent, bricolent rigolent…

Un moment de partage, c’est toujours sympa de voir d’autres familles. au fur et à mesure on voit les affinités, le mode de vie nomade de chacun.

Nous repartons le lundi, Nina a le cœur lourd. nous savons que nous nous croiserons encore.

En redescendant la route mythique, nous nous arrêtons sur le monument qui symbolise l’amitié des Georgiens et des Russes.

Nous sommes toujours accompagnés par Jaqueline et ses copines qui gênent considérablement la circulation. elles se couchent sur la route les ponts.

Nous redescendons vers Tbilissi, en vue de faire un bon plein de course et de nous rendre le lendemain en Arménie.

Passage de frontière: 30/07/2021

Tellement rocambolesque qu’il mérite un article. Nous pensions à tort qu’une sortie de pays serait moins longue.

  • Nous sommes séparées de Cécé. Ok comme à l’aller.
  • Il est 12h30, les passagers s’entassent dans le hall (ouf climatisé il fait 42 °), le douanier assit à son poste. On comprend au bout d’un trés long moment que la douane est fermée pour la pose déjeuner. Si nous l’avions su nous aurions mangé aussi.
  • A 13h, le douanier se met à travailler. A 13h17, Nina et moi sommes dehors.
  • Les véhicules toujours à l’arrêt, en fait les douaniers responsables de tous les véhicules sont en pause déjeuner de 132h à 14h.
  • Cécé a attendu bien patiemment avec des chauffeurs géorgiens et arméniens qui lui proposer de la Vodka (qu’il a refusé, il conduit, eux aussi). Il est début de fil côté camion.
  • 14h, ouverture. Là, ca se complique. Le douanier veut un papier jaune qui contient le montant et la marchandise. Nous n’avons pas ce papier nous sommes touristes. appel aux chefs, fouille du véhicule, appel un autre chef, refouille. Assurance, permis…
  • 14h23 , ca y et il est passé, nous nous attendions à 100m de lui en plein cagnard, le douanier a refusé que j’aille chercher de l’eau dans le camion.
  • A nous l’Arménie!

Vous l’aurez compris ne pas passer par la frontière pendant la pause déjeuner c’est sacré.

Nous revoilà dix jours plus tard de retour d’Arménie.

Passage de frontière :

  • Séparation chauffeur, passagers.
  • Le douanier cheik nos tests et veut voir aussi nos vaccinations. Il ne comprend pas pourquoi il n’ay a pas de QRCode. Je lui explique dans mon anglais très approximatif qu’en mai et juin, il n’y avait pas d’accord européen et que le QDCode n’existe que depuis le 01 juillet dons après nos vaccinations. Il passe nos attestations à un autre douanier qui part avec. Il ne comprend pas pourquoi Nina est vaccinée car en Georgie c’est 16+ ans. Heureusement, que j’ai pris une photo de sa vaccination. au final, on nous laisse passer, mais on s’en bien que cette vaccination sans QRCode va posée des problèmes.
  • Ils ont fouillé le camion par trois fois en demandant si nous avons “médecine, medecine” et de l’alcool arménien. On n’a que deux bouteilles de vin françaises bien en vue dans un placard.
  • Sa vaccination n’a pas posé de difficulté. Ils ont demandé le permis, il a donné avec l’internationale. Le douanier a un peu tilté mais à laisser passer.

Comme quoi tout dépend de qui est le douanier au moment ou l’on passe.

Vardzia :

C’est une visite qui nous a été chaudement recommandée par de nombreux voyageurs. Nous n’avons pas étaient décus bien au contraire.

C’est un ensemble de monastère troglodytes accrochés à la montagne et encore en activités avec de nombreux tunels. Une vrai petite ville à son apogée.

Nous avons préféré prendre le minibus électrique qui vous monte jusqu’au départ du site. La montée est raide , il fait chaud nous sommes ravis de ce mode de transport. C’est une première pour Nina.

Le site est grand, comme à son habitude Nina nous embarque à s’imaginant vivre ici. Elle grimpe, déambule. Cet endroit vous transporte, on ressent beaucoup de choses. C’est enivrant, c’est captivant et surtout amusant. C’est aussi trés fatiguant car on monte, on descend, il fait chaud, on vide nos gourdes…

Plusieurs de mes photos se sont effacées. le plus simple c’est encore de vous faire une idée par vous-même.

Après plusieurs heures à déambuler sur ce site, nous décidons d’essayer de franchir la frontière au niveau de Vale. Les douaniers nous ont expliquant gentiment que cette frontière n’était ouverte qu’aux transports de marchandises. Ils étaient navrés pour nous et nous ont dirigés vers Batoumi. Nous sommes crevés donc on se pos à proximité de cette dernière.

La route nationale “A1”:

Nous ne dormons pas beaucoup. Nous sommes préoccupés par la perte du permis et cette vaccination qui est dans un vide administratif. Pour le moment nous ne pouvons pas accéder au pass-sanitaire.

Nous prenons la nationale qui part de Akhaltsikké à Batoumi. Nous savions qu’il y avait des tronçons en travaux mais pas à se point. Au moment du départ nous voulions nous arrêter à Batoumi rejoindre des amis.

Nous avions 170 Km à faire. Quatre et demi plus tard nous en avions parcouru 70 km.

Au vue de la route, de la fatigue émotionnelle, des diverses réparations que nous devons effectuaient: nous décidons de ne pas aller à Batoumi et ne pas voir nos amis et passer cette frontières. Nos tests sont encore bons.

Passage frontière :

Nous revoilà pour la quatrième fois devant un poste géorgien.

  • Séparation chauffeur, passagers.
  • Nina et moi sommes prises entre deux bus de passagers. Sa pousse, sa bouscule, une femme pousse Nina lui marche dessus. Une femme Russe lui fera comprendre que l’on doit faire attention. Oubliée la distanciation physique.
  • Nous arrivons avec peine au guichet, la douanière nous demande nos tests, elle ne veut pas de nos attestations vaccinales. Elle vérifie à la loupe le passeport de Nina. Elle le prend pour un faux car il est trop épais. C’est son adjoint qu’il lui fera comprendre que c’est des passeports voyageurs. Du coup, ma vérification est à peine fait.
  • Seb est fouillé par trois fois mais il ne comprend pas ce que dit le douanier.
  • Nous l’attendrons pendant une demi-heure. Il c’est retrouvé dans une autre file de voyageurs de bus au lieu des chauffeurs.

La Géorgie c’est finie la suite au bilan 

 

 

 

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