- Nous sommes en France pour quelques jours. Nous avons traversé quasiment la France avec un bout d’Espagne en 3 jours (1290 km).
- Et nous reviendrons en France par l’Italie voir anecdote plus bas.
On se pose chez ma meilleure amie Cat dit Catoch. Pour plusieurs raisons:
- Le plaisir de la revoir.
- Faire des machines.
- Faire les réparations nécessaires à Ycare.
- Visiter un peu la région.
- Se poser un peu.
Pendant ces quelques jours, je ne dors plus avec mon mari. La raison est simple, Cat vit en immeuble ou on ne peut pas se garer. Ycare est stationné au château de Plaisir mais nous avons un accord de principe avec le gardien. Mon mari dort dans Ycare sans camper juste pour surveiller. Les enfants et moi chez Cat.
Versailles:
J’ai vécu 3 ans en face du château de Versailles. Le jardin je les connais par cœur. Mais je n’avais jamais visité l’intérieur du château et ceux des Trianon. Donc nous voilà parti au temps du Roi Soleil avec Cat son fils et son père. Nous avons de la chance le temps est idéal ni trop chaud ni trop froid.
On n’est pas des pros de la photo et le monde nous empêché d’en prendre.
Suivi des Trianons:
Le hameau de la Reine qui est pour moi cher à mon cœur c’était l’endroit ou je révisais mes examens de pharma.
Et nous voilà tous réunit:
La palais des carrosses:
Ce fut une journée pleines de souvenirs, de nostalgie. Je suis remonté 21 ans en arrière. Le lieu n’a pas changé par rapport à moi, ces années m’ont métamorphosé. Les enfants étaient ravis de cette visite. ce fut une journée harassante. On a beaucoup piétiner.
Un petit bémol pour le parking, rien est prévu pour les camping-car. nous étions garés sur le parking des bus. Il voulait nous faire payer 60 €pour 7h de présence. Après une bonne négociation nous avons payer 15 € mais le pire c’est que pour la voiture à Papi il a payé 22€. Je rappel la visite et à 27€. C’est un comble. ça à un peu gâché la fin de cette belle journée riche en émotion et en histoire.
Paris:
C’est la fête des mères et nous avons prévu Cat et moi de faire une croisière déjeuner le long de la Seine. donc c’est une journée entre filles ou plutôt entre mères. Ça nous convient parfaitement. Mon homme sera le baby-sitter. Il fait super chaud et même trop chaud. c’est moi qui dit ça. En fait, il fait moite, il fait lourd mais l’orage à péter après notre croisière. Nous sommes revenues repus de notre repas.
Nous sommes aussi allée dans le village ou mes deux premiers enfants ont vécu pendant 3 ans à Beynes.
Nous avons fait un après-midi piscine. Je m’excuse un centre aquatique super sympa à Montigny le Bretonneux. Je n’ai pas de photo car c’est strictement interdit.
Une semaine de mise à jour du blog a été juste. J’ai eu beaucoup de travail.
France retour :
Ca y est nous avons passé notre dernière frontière. c’est la fin de l’aventure. On passe la frontière à Menton et là le sketch.
La douane française nous arrête. (nombreuses familles se sont fait arrêtées dans les frontières Franco/italienne).
La gentille douanière nous demande papier, et l’ouverture de la porte arrière.
Je lui réponds je vous ouvre car nous fermons à clé pendant la route et je tiendrai, le chien. J’ouvre , je m’excuse du bordel (et oui j’ai dit ce mot à une représentante de la loi oups).
elle me répond: normal vous êtes en vacances.
Et moi je rétorque: non on est en aventure depuis 7 mois.
Mme la douanière: a bon comme ces familles dans Reportage.
Oui oui comme eux lui dis-je.
Vous êtes passé à la TV
non, on nous a démarché mais nous avons refusé.
Et là grosse déception sur le visage de la douanière. elle était encore sur les marches, regarde les enfants puis moi et me dis l’air super déçus. “bon bé vous pouvez y aller.”
Elle descend, je referme, je regarde les enfants et nous éclatons de rire.
Elle n’a rien vérifier. Dommage que je n’avais pas un appareil photo. C’est pas bien de se moquer mais la vue vu sa tête décomposée.
Nous passerons deux nuits, la première car nous devons rechausser les enfants pour l’école donc on profite des grands magasins de Nice.
La deuxième à Entrevaux que j’ai toujours voulu visiter mais que nous visiterons pas car toujours ce très mauvais temps.
À propos de l’auteur